Une pensée pour celle qui fut ma lumière, mon oxygène
1 Novembre 2011 , Rédigé par René G. Thirion Publié dans #Wallonie-France
Ce fut un ange de douceur
M’inondant de sa tendresse.
Ce cinq février de malheur
Me revient à l’esprit sans cesse.
Cinquante ans d’amour partagé
Dans les tourmentes de la vie.
Si la mort n’a aucune pitié
Elle libère de la maladie.
Et je garde son souvenir.
La séparation fut cruelle.
Le jour où je devrai partir,
Je viendrai m’allonger près d’elle.
Sous les galets, nos corps unis
Rappelleront aux passants
Que ceux que Cupidon choisit
Deviennent d’éternels amants !
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