Quand les oiseaux disparaîtront
Un poète était amoureux
D’un rossignol dans son jardin
Dont le chant doux et harmonieux
Le réveillait chaque matin
Il se levait le cœur joyeux
À entendre ce compagnon
Car il ne pouvait rêver mieux
Pour lui donner l’inspiration
Mais un jour il n’entendit plus
La mélodie du bonheur
L’oiseau pour toujours s’était tu
Et cela lui brisa le cœur
Désormais il n’écrirait plus
Sa muse morte de langueur