Le feu d’Éros
10 Février 2018 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Elle gisait nue sur le drap de satin
Belle et provocante prenant un air mutin
Les jambes entrouvertes suprême séduction
Elle savait déjà tout de ma soumission
Mon cœur me faisait mal et tout mon corps tremblait
J’étais en extase le désir me brûlait
Je tombai à genoux comme pour la prier
D’accepter mon amour de pouvoir la toucher
Elle m’attira à elle dans un doux abandon
Tout bouillonnait en moi je perdis la raison
Le corps était l’enfer l’âme le paradis
Et quand je l’étreignis elle poussa un cri
Ce fut un tourbillon qui nous emporta là-haut
Dans le ciel des amants le bonheur dans la peau
Jamais je n’oublierai ce moment délicieux
Où je me suis senti aussi puissant qu’un dieu
Je te dois tout cela tendre révélation
Et tu es désormais dans mon adoration
Quelle dualité esclave maître à la fois
Désormais c’est juré je survivrai pour toi
Georges Bleuhay – L’errance poétique – Edilivre Paris 2016
Illustration: Egon Schiele - Impressionniste
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