Le néant
20 Mai 2017 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
A travers le miroir et l’azur de tes yeux
Je fus comme l’oiseau ivre de liberté
Dominant le monde presqu’égal à un dieu
D’y sentir ton amour m’avait transfiguré
En écoutant les mots que tu me murmurais
Et qui coulait en moi tel le chant d’un ruisseau
Je devins poète la passion m’animait
Je vivais le bonheur et mes vers étaient beaux
Mais quand tu m’as quitté le soleil s’est éteint
J’ai soudain éprouvé la laideur de la nuit
Quand la mort apparaît et quand hurlent les chiens
Si mon cœur est vide je suis encore vivant
Errant péniblement dans un monde sans bruit
Et depuis ton départ je connais le néant
Georges Bleuhay - poème en attente de publication - Tous droits réservés
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