Le 22 novembre 2007
23 Novembre 2016 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Un vingt-deux novembre elle a répondu oui
Des larmes dans les yeux la maladie au corps
Après quarante-deux ans de bonheur accompli
Nous nous sommes mariés pour conjurer le sort
Elle était bien frêle dans son petit tailleur
Chancelante à mon bras me disant son amour
D’être abandonnée elle n’avait plus la peur
Je donnais la preuve que je l’aimais toujours
Mais elle ne savait pas tout ce qui l’attendait
Quatre ans de souffrance que j’ai dû adoucir
Le cœur toujours aimant et je l’accompagnais
Au gré de ses douleurs vers son triste avenir
Un immense chagrin m’a envahi soudain
Quand je l’ai vu dormir d’un sommeil sans retour
Hurlant mon désespoir j’implorai le ciel en vain
Désormais j’étais seul et c’était pour toujours
Je garde souvenir au plus profond de moi
Et de ce mariage tellement désiré
Et de son sourire empli d’un doux émoi
J’ai pu l’accompagner jusqu’à l’éternité
Georges Bleuhay - poème en attente de publication - Tous droits réservés
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