L’absence
8 Août 2021 , Rédigé par Georges Bleuhay
Ô mon cœur si je t’écoutais
Je briserais le silence
Larmes aux yeux je pleurerais
À ressentir ton absence
Et j’attends de tes nouvelles
Que tu ne me donneras plus
Dieu que la vie est cruelle
Quand le bonheur a disparu
Tu m’offrais tes confidences
Partageant avec moi tes peurs
Mais aussi tes espérances
D’enfin connaître le meilleur
Ton âme était lumineuse
Et tu rayonnais d’amitié
Tu te montrais généreuse
Envers tous les déshérités
Mais qui pourrait me comprendre
Saisir le mal qui me ronge
Il ne reste que des cendres
Ton image n’est plus qu’un songe
Je dois être bon comédien
Car nul ne voit mon désarroi
Cela me fait un mal de chien
Ma sœur est partie avant moi
Ô mon cœur si je t’écoutais
Je briserais le silence
Larmes aux yeux je pleurerais
Sur ta douloureuse absence
Georges Bleuhay - Tous droits réservés
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