Vers le grand départ
12 Juin 2021 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Comme un cheval fourbu
Qui se laisse mourir
Comme l’enfant perdu
Sans aucun souvenir
Je suis désespéré
Je ne sais que pleurer
Comme l’arbre trop âgé
S’abat sous l’orage
Tel le pauvre noyé
Dont le corps surnage
Je me sens apeuré
Par ma fragilité
L’angoisse me poursuit
Je me sens tellement mal
Allongé sur mon lit
J’attends l’instant final
Vous qui m’avez aimé
Il ne faut pas pleurer
La vie est fugace
Et est un don de dieu
Un jour tout s’efface
Et vous malheureux
Rien ne vaut la santé
Il faut en profiter
Dans un proche avenir
Je fermerai les yeux
Pour ne plus les ouvrir
Sur un dernier adieu
Je vais tout oublier
Même ce que j’ai aimé
Georges Bleuhay - Tous droits réservés
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