La fin d’une amourette
11 Décembre 2019 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Je déposerai un pleur
Aussi léger qu’une fleur
Sur la main que tu me tends
En adieu indifférent
Notre amour fut si banal
Qu’il sera faible le mal
Que tu infliges à mon cœur
Il n’est pas grand le malheur
Sans une grande passion
L’amour meurt sous la raison
Peu de choses nous unissait
Trop peu pour de grands regrets
Adieu cours vers ton destin
Moi je rejoins le chemin
Qui conduit à l’amour fou
Qui me mettra à genou
Ce n’est pas un grand malheur
De pleurer sur une fleur
Que l’on cueille en un instant
Et que l’on jette en chantant
Georges Bleuhay - poème en attente de publication - Tous droits réservés
Photo gratuite de Engin_Akyurt sur Pixabay
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