Elle portait le prénom d’un ange
1 Mai 2018 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Oui notre monde est effrayant
Peuplé de violeurs assassins
Amateurs d’enfants innocents
Qu’ils martyrisent de leurs mains
Ils prennent un plaisir pervers
À souiller et martyriser
Ces gosses voués à l’enfer
De leurs désirs exacerbés
Pauvre petite Angélique
Tu ne pouvais imaginer
Que ton voisin sympathique
Serait un bourreau acharné
Tu avais treize ans à peine
Tu ignorais la méfiance
Mais une bête malsaine
Se moquait de ta souffrance
Pour ton malheur tu as rejoint
Les nombreux gosses torturés
Nous sommes devenus témoins
Des crimes de ces désaxés
Je crie tout mon ressentiment
Il n’y a rien à comprendre
À part la douleur des parents
Ces criminels sont à pendre
Georges Bleuhay - poème en attente de publication - Tous droits réservés

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