Vieillesse
9 Mars 2018 , Rédigé par Georges Bleuhay Publié dans #Poésie
Un soleil qui se meurt
Éclaire encore mon cœur
De la pâle clarté
Des souvenirs passés
D’abord le visage
De l’enfant peu sage
Qui croyait au bonheur
Et ignorait les pleurs
Puis le réveil ardent
D’une faim d’adolescent
L’œil s’ouvrant au monde
Trop souvent immonde
Je connus des amours
Qui ne durent qu’un jour
Trop vite consommés
Trop vite oubliés
Je cherchais l’absolu
Mais j’avais le cœur nu
Je l’ai rencontrée
Lors d’une soirée
Et c’est elle qui ouvrit
Mon âme au paradis
Il a duré longtemps
Longtemps au fil des ans
Mais tout à une fin
Et cause le chagrin
De l’âme esseulée
Perdant son aimée
Un soleil qui se meurt
N’éclaire plus mon cœur
Et mon esprit sombre
Je deviens une ombre
Georges Bleuhay - Le miroir brisé – Edilivre Paris 2016
Photo gratuite de StockSnap sur Pixabay
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